samedi 10 mars 2012

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Voici quelques articles publiés récemment dans nos journaux régionaux à propos de notre soirée de présentation au Jeudi de la Planète à St-Camille.

Annonçant l'évènement :

- "Un an au pays de l'Himalaya" dans La Tribune du 12 février 2012.

- "Une aventure coopérative qui transforme une famille", dans Les Actualités, 13 février 2012

La soirée fut un franc succès avec au-delà de 100 participants, attentifs à souhait. Nous remercions tout ce beau monde de tout coeur pour leur intérêt qu'ils portent au Népal, à la coopération et à nos aventures.

Voici un autre article, écrit par Amélie Boissonneau qui y assistait, écrit peu après la soirée.

- " Retour sur une année de coopération en famille", dans La Nouvelle, le 7 mars 2012

Si vous êtes de ceux qui auraient aimé y être, faites-nous signe, nous vous tiendrons au courant si jamais l'occasion se présente à nouveau !



vendredi 3 février 2012

Une invitation dans notre patelin


Comment réunir le gout de l’aventure, l’intérêt de contribuer au développement d’une communauté moins nantie que la nôtre, la volonté de partager son idéal coopératif, le désir d’ouvrir ses enfantsau monde et à son multiculturalisme ?

Réponse : Partir au Népal pendant un an, enfamille, pour réaliser un mandat de coopération internationale avec le programme Uniterra duCECI.

Au cours d’une présentation imagée, François etAnnik illustreront comment un tel défi peut s’avérer stimulant avec de jeunes enfants tel qu'Emma (4 ans), Théo (2 ans) et Naomi agée de 2 mois lors de leur départ en avril 2010. À travers souvenirs et anecdotes, ils aborderont plusieurs thèmes qui ont caractérisés leur expérience Himalayenne. La vie quotidienne, la vie de coopérant, la culture, la santé, la politique, les joies et les difficultés seront au menu.

Faire des treks de 10 à 20 jours sur le toit du monde jusqu'à 4 600 m, parcourir la savane à dos d'éléphant, se frotter le nez sur le Taj Mahal sont quelques moments forts de leur séjour. Exotiques et féériques, ces moments à l'extérieur de leur communauté ont aussi servi de soupape pour les défis que la famille s'est résolu à surmonter au sein de celle-‐ci; l'isolement causé par la langue,l'approvisionnement très instable en eau et en électricité, le fossé culturel, les soins de santé déficients et la rareté de biens de consommations que nous prenons pour acquis ici, au Canada.

Vautrée dans une petite vallée à 16 heures à l’ouest de Katmandou (400 km), leur petite ville de Surkhetaccueille quelques expatriés volontaires et employés du Programme Alimentaire Mondial (PAM) del'ONU. Le touriste est une espèce rare dans cette contrée. Comme coopérant volontaire, François supportait des coopératives maraichères en vue de mieux structurer leurs pratiques de marketing. Annik, en plus du titre de maman à temps plein, accompagnait la titulaire d'une garderie de 30 enfants et lesprofesseures d'une école primaire de quelques centaines d'élèves dans leurs pratiques pédagogiques. Ils se feront un plaisir de partager ces riches expériences avec vous et qui sait, peut-‐être vous en donner lapiqure ?

Où ?: Au P'tit Bonheur de St-Camille 

Quand : Jeudi, le 23 février, 19h15Cout : 3 $ 

Venez nous voir ! Question de vous convaincre de partir en famille !



dimanche 20 novembre 2011

De retour dans nos vieilles pantoufles

Le retour à notre terre natale s'est fait dans la douceur. Un accueil familial chaleureux à l'aéroport, une cuisse BBQ au St-Hubert 1 heure plus tard, un lit douillet déjà fait à la maison. Que demander de plus ? Le confort émotionnel et matériel était au rendez-vous. Tous les sens furent comblés. Presque tous...




L'appel de la cabane à sucre s'est fait sentir. On s'est gavé pas à peu près. Le sens du gouter était comblé à son tour.

Voici le top quatre du palmarès des FAQs que les gens nous posent depuis notre retour:

Est-ce que vous êtes contents d'être revenus ? OUI. Dans notre cas, on peut dire qu'un an comme première expérience familiale a été suffisant. Moins qu'un an aurait été trop court. Pour nous, un an a semblé idéal.

Avez-vous eu un choc de retour ? NON. Nous revenions dans notre maison, retrouvant nos jobs, nos amis, nos autos, l'électricité, l'eau, notre poêle, notre café, nos bonne vieilles pantoufles finalement. Par contre, nous avons quand même pris un bon trois semaines avant de revenir au boulot. Trois semaines pour embrayer de la 1e à la 2, de la 2e à la 3e et ainsi de suite. On sait ce que ça fait passer de la 1e à la 5e... Ça "stall". Reprendre une vitesse de croisière à 120 km/h doit se faire graduellement. 

Y retourneriez-vous ? PEUT-ÊTRE. Dans un contexte de coopération, ce serait peut-être sous certaines conditions différentes. Dans un contexte de trekking, dans une couple d'année certainement ! Peu importe la raison, nous savons que l'appel se fera sentir. Nous y retournerons un jour, ça c'est sur !

Que retenez-vous de votre pays d'accueil et ses habitants ? Les népalais ne s'apparentent pas du tout aux repères interculturels que nous avions acquis dans nos voyages en Amérique centrale ou en Afrique de l'Ouest au fil des dernières années. La chaleur du sang latin et le côté extraverti des africains se traduisent autrement au Népal. Les émotions et la communication y sont beaucoup plus subtiles, enfouies. C'est seulement après 9 mois que nous avons commencé à réellement apprendre sur la culture, les non-dits, les racines anthropologiques expliquant certains comportements. La famille et son clan est la cellule la plus soudée de la société népalaise. Nous sommes tellement privilégiés d'avoir pu en intégrer une à travers Tulsi, notre grande soeur.


Un cliché : Ce voyage nous aura (une fois de plus) permis de réaliser à quel point nous sommes à l'aise. Nos besoins sont comblés. Aux plans spirituel et émotionnel, la société de consommation dans laquelle nous nous replongeons est celle qui crée des besoins qui ne seront jamais comblés. C'est plutôt celle-ci qui est inquiétante. Pourtant, nous en faisant partie.

Je voudrais profiter de ce dernier billet pour VOUS remercier du fond du coeur tout ceux qui nous ont suivis à distance dans cette aventure qui restera gravée à jamais dans nos esprits. Tout particulièrement, notre famille, nos mamans inquiètent, nos papas curieux, nos frères et nos soeurs que nous avons interpellés sur Skype à des heures plutôt atypiques. Ils ont toujours été là pour nous écouter malgré les horaires à 100 milles à l'heure qui caractérisent nos vies ici. 

Un merci bien chaleureux à nos collègues népalais, aux expats que nous avons côtoyé et surtout à notre didi Tulsi qui fut réellement notre grande soeur durant cette période.

Un merci spécial aussi à nos visiteurs qui ont su sortir de leur zone de confort pour venir nous voir dans notre 4 étoiles: 

Steven et Caroline pour leur observations crues du moment dans les endroits les plus excitants du Népal ! 



Émilie et Alice qui sont venus all the way pour la fête à Emma ! 

Anny pour venir se gonfler des ampoules avec nous dans l'Annapurna ! 

Sabrina pour venir sentir le patchouli dans le Nord de l'Inde en notre compagnie !

Et bien sur, Simon, l'autre roux de la famille.

De retour dans nos pantoufles, nous nous surprenons déjà à rêver de nouveaux projets qui risquent de se transformer en de nouvelles aventures plus vite qu'on ne le pense. On vous tiendra au courant ...








mercredi 16 novembre 2011

4410 images en 18 minutes

Un montage hallucinant monté par mon fréro Simon.



Avertissement: ce film peut ne pas convenir à des jeunes neurones fatiguées.

mercredi 12 octobre 2011

Le Langtang: le retour

Déjà plus de 4 mois (lors des premiers mots écrits pour ce billet et maintenant plus 7 mois ! Novembre 2011; procrastination quand tu nous tient!) se sont écoulés depuis cette belle expérience. Saurais-je trouver les mots pour exprimer les émotions et les souvenirs qui s'en sont découlés ? Parce que voyez-vous, l'écriture se fait repousser. Fidèle à moi-même, je vais tenter d'être la plus authentique dans mes propos. Alors voici le récit du retour du Langtang! Cependant, je dois dire que nous avions fait un journal de bord manuscrit grâce auquel on peut se rappeler ces récits d'aventures. 


Jour 6

Ekbahadur et Emma qui posent devant ce gigantesque mur quelques heures après le Kyanjin Gompa. Il faisait froid ce matin là. Emma a marché les 2 premières heures et nous ne cessons de répéter que nous devons aller au rythme de chacun, même s'il fait froid et même si Emma fait de petits pas. Et même si elle ramasse des cailloux sur sa route de pèlerin.


Ces pierres ont été sculptées il y a de cela quelques centaines d'années. Ces"maniwalls" ont été gravés en tibétain. Ces passages doivent être marchés dans le sens des aiguilles d'une horloge. On devait toujours passer à gauche, même les enfants avaient fini par comprendre...


On revenait vers Mundu et Sindum, les 2 villages dévastés. On demande ce que l'on peut faire et quelle famille a le plus de besoins. Des gens qui reconstruisaient leurs abris nous disent d'emblée: "la femme qui a perdu son mari, elle est seule et a 2 enfants. Les gens nous disent elle n'est pas "clever". Nous tendons 2 billets de 1000 ruppees. Nous savons que c'est peu mais Ke garnu? C'est triste parce nous savons que ces gens seront seuls et sans aide outre les trekkers qui passent.

On arrive un peu plus loin au poste d'armée, on montre nos permis de trekker. Ensuite, je pose des questions. Êtes-vous au courant du désastre? Oui me répondent-ils. L'avez-vous dit à votre supérieur à Katmandou? Oui? Que va t'il faire, qu'est-ce que l'armée et le gouvernement vont faire? Vont-ils aidés ces villageois? Oui. Kahile? Quand? On ne le sait pas... Moi, je doute fort bien qu'ils vont les aider, n'oubliez pas qu'on ne dit jamais non...

On continue: direction Langtang Village pour atteindre Gora Tabela en fin de journée, on lâche pas...

On arrive vers 11h30 au village du Langtang (3430 m). On s'en va dans la cuisine de notre hôte qui coupe les patates, oignons et verdures. On veut l'aider pour repartir au plus vite. Nos chers porteurs aident aussi pour s'assurer d'avoir plus de légumes dans notre Dhal Bhat... 12h50 on repart le ventre plein. C'était délicieux. Mais du Dhal baht ça finit toujours par retomber dans l'estomac lourdement. Heureusement, tout ce qui descend ne remonte pas.

Il commence à neiger, à pleuvoir: vite vite vite on marche.... Enfin nous arrivons à Ghora Tabela, même endroit sympathique ou l'on avait logé lors de notre ascension. C'est parfait, ça commence déjà à se remplir, nous sommes arrivés à temps.


Ghora Tabela (2970m), the hotel tibetan, très chaleureux comme endroit avec un bon poêle à bois pour réchauffer les passants.

Jour 7

Il pleut toujours, l'eau pour se laver les mains est glaciale. Plus on descend, plus la végétation est présente.



Juste à nous voir avec nos tuques et nos mitaines, ça donne un aperçu du froid et de l'humidité.


Naomi ! Pour elle, le trek c'est la belle vie. Elle est ZEN!


Il n'y a pas que du lichen mais bien, enfin, quelques rhododendrons. Plusieurs ont été gelés prématurément. Le froid a fait tombé les fleurs de plusieurs arbres.


Une pose sourire. Cheese Simon!


Vous ne pouvez pas bien le voir sur la photo, mais devinez quoi ? C'est bien une mme française handicapée qui se fait hisser par un groupe qui possède un attelage hors du commun qui superpose un fauteuil roulant sur un frame de vélo. Incroyable ! Quand on dit qu'il faut aller au bout de ses rêves, bien je crois que cette dame a réussi en partie. Le groupe allait faire un trek d'une durée similaire au nôtre.


Des singes ! Une colonie local de Black Langurs.


Après le singe, le veau! Espèce commune de la faune locale. J'aime bien flatter la petite bête. Emma est aussi attentionnée que moi. Arrivée à Bamboo (1930m), on se campe à Bamboo Lodge. En passant, la maison n'était pas fait de bambou. Cependant, un des porteurs (Singné) fabrique un mini doko (panier) pour Théo en Bambou. Souvenir que nous avons rapporté!


Jour 8
Départ pour Thulo Syabru (2260m). On décide de faire un détour par là, semblerait que c'est un village sympathique avec 70 maisons, dont 20 lodges.  Le seul problème c'est que nous avions peu d'info sur le trajet...



Un petit vidéo illustrant les talents d'artiste du porteur à Simon et un des nombreux ponts que nous traversions à chaque jour. Regardez bien le visage d'Emma lorsque la dame lui remet un biscuit...

Ce jour là, nous en savions peu sur le trajet nous avions à descendre et remonter. Les porteurs nous avaient dit en riant que ça montait... Ensuite, une fois arrivé en haut, nous voyons le village, je suis toute contente et je m'imagine qu'il y a un pont ou quelque chose. Non, pas de pont alors on redescend, on suit le sentier... jusqu'en bas. On prend le pont qui chambranle reliant des deux flancs de la vallée. Ensuite, on remonte. La montée est interminable. La vue très belle mais je dois l'avouer, j'étais épuisée de monter. En plus il faisait chaud!



Avouez que c'est beau. Mais c'est haut!


On commence déjà à voir plus de cultures. Les parcelles sont à couper le souffle. On arrive à l'hôtel. Oui un hôtel! Un vrai. Des lits propres, des draps propres, des toilettes, une vue, de la lumière, une douche... qui devait être chaude mais qui ne l'était pas. Mais ça, c'est un détail.


Une famille aux aurores ; contente et épuisée de la veille. Mais Ganesh Himal, (le dieu en forme d'humain à la tête d'éléphant) est derrière nous.


Un morceau animal... De la viande séchée ? Version locale de la viande des Grisons.


L'hotel était ornementé de boiserie.

Jour 9 

On doit atteindre Sing Gompa (3300m) et se taper 1050 m d'ascension!!!


Une petite pause pour se souhaiter une bonne journée en sécurité!


Une autre journée de montée. C'est raide. On se questionne régulièrement sur le nombre de mètres gravis (une française -accompagnée de 2 enfants népalais- qui nous suit de près a une montre au poignet qui indique l'altitude. C'était plus souvent décourageant. Elle nous indiquait le nombre de mètres atteints au 5 minutes). On marche dans la forêt une bonne partie de la journée. Après 4 heures de rando, on décide de prendre une pause pour se réchauffer à 3210 m. Le vent nous gèle le dos rempli de sueur. La visibilité est nulle et les nuages se même de la partie. On voit à peine 100 mètres plus loin.


Après la pause, on demande à ce que les enfants soient portés. On veut arriver avant la tempête qui s'annonce... On marche la dernière heure dans une forêt remplie de pins et d'épinettes centenaires. On aurait dit une forêt boréale ou une "rain forest" du Canada. 1 heure de marche et de course à travers pluie, grêle et neige puis on arrive au Red Panda Lodge, un bel endroit, chaleureux, poêle à bois, cuisiniers sympathiques, des français qui mangent pain et fromage apportés de leur coin de pays. Ils sont tous pareils ces français! Après-midi relax, mais on a eu droit à des petites crises au dodo (Je  l'écris au cas ou vous pensiez que c'était toujours facile... )

Jour 10, 31 mars 2011


Dernier jour de marche. On quitte nos hôtes à 8h30. Un très bon déjeuner, le grand luxe: pain et brioche à la cannelle. FRAIS ! On va descendre 1300 mètres, plus sympathique que la veille! Ça descend, ça descend, ça descend. Je (annik) suis étourdie et je ne sais pas pourquoi... Nous marchons pendant 5 heures. Les dernières 15 minutes on été faites sous la pluie, une habitude quoi ! On arrive à Dunche ! (j'ai pas dit douche !)


Une photo de famille!
Environ un autre 1 km avant d'arriver!
EMMA A MARCHÉ 100% du trajet aujourd'hui. Bravo pour une petite de 5 ans!

On couche au Langtang view. En passant l’hôtel ne nous semblait pas très attrayant mais... avait une attach bathroom et oui... dans notre chambre avec douche solaire, vous comprendrez que du la température froide, la douche n'Était pas chaude. La douche chaude attendra à Katmandu au"passage house" garantie: elle est au propane!

Notes à part

Quelques réflexions lors de cette dernière journée de trek (on a beaucoup de temps pour réfléchir lorsque l'on marche) :
- Le retour au travail était anticipé...
- 1 an s'est défilé et le temps a passé parfois plus lentement que l'on aurait souhaité et maintenant trop rapidement (un classique). Je (Annik) n'ai pas l'impression d'avoir passé un an au Népal mais bien moins!
- Durant les derniers jours, nous avons salivé sur de la nourriture purement québécoise que nous souhaitions manger à notre retour. En tête de liste : du fromage en grain, poutine, chips BBQ, tire d'érable, tofu (bien oui on aime ça nous du tofu !), saucisses cocktail, buffet chinois, egg roll, tourtière, SALADE, FRUITS... De la belle junk finalement.


Les impressions d'Annik sur le Langtang vs l'Annapurna - tiré de notre journal de bord le 31 mars 2011
  • Descentes et montées plus importantes dans le langtang
  • Température plus froide
  • Emma marchait plus dans le Langtang (5 mois plus tard)
  • Théo appréciait marcher
  • Théo était propre (pas de couches à transporter ! 
  • Les journées étaient plus courtes (5-6hres)
  • Les enfants faisaient des siestes
  • Emma écoutait plus les consignes: donnez la main
  • Les vues spectaculaires à Kinjin Gompa
  • Le reste similaire...
  • Les porteurs aussi sympathiques et joyeux!

Le lendemain matin

Direction Katmandu. On s'est loué un jeep cette fois-ci avec nos 2 amis porteurs


Le dernier check post!


À peine sorti du village...


Au loin, on voit un camion pris au beau milieu de la route, personne ne peut passer: les hommes aiment bien regarder la situation, impuissant !


Portrait de terreur!


Des routes ravagées par la pluie


Le cycle de la vie recommence, des nouvelles plantations de riz, déjà vu... 1 an plus tôt!


Aurevoir... les plaines de la vallée de Katmandou réapparaissent.


Bonjour Katmandou!

mardi 27 septembre 2011

Une décantation et un vernissage

Quoi de mieux que de le laisser retomber la poussière pour voir le paysage. Décanter pour apprécier. Notre éternelle pause d'écriture pour terminer ce blogue ne semble pas vouloir tirer à sa fin. Le moment viendra.

Bienvenue aux nouveaux visiteurs du blogue. Entrez, faites comme chez vous. Laissez-vous transporter dans notre aventure familiale en coopération internationale au Népal.

En attendant d'attraper un peu de temps au vol, je vous invite tous à venir voir cette extraordinaire exposition qui aura lieu à Sherbrooke (si vous ne l'avez pas déjà vu) ! Paysages et visages se juxtaposent dans cette suite d'images qui parlent d'elles-mêmes.


Mon frère Simon est l'artisan derrière cet oeuvre. Je le remercie d'avoir quitté son confort de salon québécois pendant quelques temps et d'avoir troqué ses cigarettes pour un billet d'avion à l'autre bout du monde, pour rejoindre la familia.